Flore-Anne Ducharme

Flore-Anne Ducharme :
maintenant ou jamais

Par Mélanie Roy
Photo par Joannie Lafrenière

Cofondatrice des restaurants HÀ et du BarBara, une nouvelle adresse du quartier Saint-Henri (ouverte en pleine pandémie!), notre muse du mois dirige également le bureau de Montréal de l’une des agences de marketing les plus florissantes du moment. Entrevue avec une femme assurément douée pour l’art de vivre. 

1. Qui es-tu?
Une maman de deux enfants.
Une épouse.
Une femme d’affaires qui s’accomplit dans un monde compétitif où la créativité et la ténacité sont essentielles à la survie.

 2. Quel est ton emploi actuel?
Je suis directrice générale de No Fixed Address Montréal, une agence de marketing en pleine expansion, et cofondatrice des restaurants HÀ, du Nhậu Bar et du BarBara Vin.


3. Si on devait raconter la fabuleuse histoire de Flore-Anne, comment se lirait le synopsis?

Née en Estrie, Flore-Anne a connu très jeune, à la séparation de ses parents, la nécessité de s’adapter à divers milieux et à différentes personnes. De Sherbrooke à Québec, en passant par Trois-Rivières, Vancouver et l’Espagne, elle a finalement posé ses valises à Montréal, auprès d’un charmant Franco-Manitobain. Avec lui, elle partage sa vie, sa famille et sa passion pour la restauration; c’est d’ailleurs ensemble qu’ils ont imaginé les restaurants HÀ.

Fascinée par le monde du marketing, elle travaille en agence depuis près de 20 ans, ce qui l’a menée à la direction du bureau montréalais d’une des agences canadiennes les plus prolifiques actuellement.

La vie de Flore-Anne est tout sauf ennuyante, et les projets ne manquent pas!

4. Quel mot te décrit le mieux, et pourquoi? 
Curiosité : j’aime découvrir, voir, sentir et surtout goûter de nouvelles choses.

 5. Si tu avais la chance de rencontrer la Flore-Anne de 20 ans et de lui donner un conseil, lequel serait-ce?
Rappelle-toi chaque jour de ta vie qu’il y a des gens autour de toi qui t’aiment et qui sont là si tu as besoin d’eux. Et l’inverse est tout aussi vrai. Surtout… Aie confiance en toi et entoure-toi de gens qui ont ton intérêt à cœur.

6. Quelle est ta définition de l’ambition?
Je me dis qu’on n’obtient rien sans effort, que le succès se gagne et se mérite quand on fait les choses avec sérieux, et que l’expérience qu’on acquiert nous sert seulement si on est capable d’apprendre de nos erreurs.

7. Quel est ton plus récent engouement artistique, et pourquoi? 
En boucle depuis quelques années… La chanson « J’aurai cent ans » de la chanteuse Beyries, en duo avec Louis-Jean Cormier.

8. Difficile de faire abstraction du contexte particulier dans lequel a lieu cette entrevue… Qu'est-ce que la pandémie a changé pour toi? 
Ma façon de travailler et ma vie de famille. Le télétravail et le fait d’avoir mon amoureux et mes enfants près de moi ont permis la création d’une nouvelle dynamique très rassembleuse à la maison. On voit évidemment moins de gens, alors le côté social en souffre, mais l’unité familiale est renforcée. Et ça, c’est précieux.

9. As-tu une devise, et si oui, laquelle? 
La vie, c’est maintenant.  

10. As-tu un souhait à formuler pour la prochaine année
J’aimerais pouvoir recommencer à avoir une vie sociale plus « normale » et à circuler sur la planète. Mais je souhaite surtout que ma famille reste en bonne santé. C’est le point de départ essentiel à tout le reste. 


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